LE "STRIFE SYNDROM"
et les pathologies
Chroniques ciblées
Définition du « Conflit Neuro-Végétatif » ou « Strife Syndrom ».
Il s’agit d’un déséquilibre entre le système sympathique et le système parasympathique, occasionné par un évènement, qu’il soit traumatique physique ou psychologique. Dès lors, les deux systèmes peuvent se désorganiser en hyper ou hypo fonctions engendrant un dérèglement des organes cibles. Cette dérégulation du système nerveux autonome par l’un ou l’autre des systèmes, voire les deux, conduits à des pathologies chroniques spécifiques.
L’approche novatrice du traitement du système neuro-végétatif :
Cette étude sur les fonctions neuro-végétatives a pour but de comprendre et d’approcher différemment les pathologies chroniques qui restent toujours un mystère pour la médecine.
« Durant 40 années de recherche, j’ai fait l’étude d’une multitude de cas clinique qui m’ont permis d’envisager un mode de détection et des protocoles précis. »
Les essais trouvés dans la littérature tels que la dysautonomie, les états vagaux, les dystonies neuro-végétatives, sont des constatations symptomatiques, mais en aucun cas ne comportent des solutions basées sur l’origine réelle et leur traitement.
Explications :
Les fonctions neuro-végétatives, sympathique et parasympathique, sont liées à un fonctionnement central nées du SNC, du tronc cérébral, de la protubérance bulbaire, des zones thalamiques et hypothalamiques, des noyaux de la base, etc.
Il est à prendre en considération leurs situations dans un carrefour dure-mérien bien spécifique, c’est-à-dire la petite circonférence de la tente du cervelet, la gouttière basilaire et sa fosse tapissée par la dure-mère, la symphyse sphéno-basilaire et la grande circonférence de la tente du cervelet.
Les contraintes exercées sur les tissus cérébraux vont modifier les échanges électro-chimiques des voies nerveuses, de leurs conductions et par conséquent des organes cibles.
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Symptomatologies du « Strife Syndrom» :
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Cardiaque : Extrasystoles, tachycardie, oppression, angor, hypertension artérielle, palpitations, stress endothéliaux des
ros vaisseaux. -
Pulmonaire : Dyspnée.
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Digestive : Nausées, dyspepsies, vomissements, diarrhées.
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Vasculo-cutanée : Sensation de peau brûlante en dessous, impression approchante d’une paresthésie cutanée
(l’effleurage brûle en dessous de la peau). -
Urologique : Polyurie, ténesme, incontinence quelle que soit le remplissage de la vessie, urines très claires.
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Génitale : Baisse de libido (Par déséquilibre avec le parasympathique).
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Centrale :
- Thermorégulation : froid intense par vasoconstriction de la
vascularisation profonde, tremblements spasmodiques
importants.
- Équilibre hydrique : Soif : Diminution importante du besoin
(vasopressine).
-Transpiration : Diminution par vasoconstriction vasculo-
cutanée.
- Sommeil (trouble du) : Fatigue intense, cycle nycthéméral
désordonné.
- Satiété : Inappétence. -
Atteinte de l’état général : Mal être indescriptible, état dépressif.
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Atteinte mentale : Marasme intellectuel, démotivation.
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Orthostatisme : Instabilité à la position debout (de type ébrieuse), disparaissant à la marche.
Citons certains objectifs de l’osséopraxie :
• Angines chroniques – Amygdalites
(voies neuro-végétatives en C2-C3-C4)
• Colon spastique (voies splanchniques et ganglions mésentériques)
• Crises d’angoisse (par affections de mobilité de la membrane
dure-mérienne dans la sphère hypothalamique).
• Cystites chroniques (restrictions de mobilité du fascia
ombilico-prévésical et des voies neuro-végétatives sacrées).
• Dysfonctions hépatiques (certaines - par compressions du nerf
pneumogastrique droit)
• Diverticuloses (par affections neuro-végétatives de la musculeuse
intestinale)
• Dyspnées (par perturbation du nerf phrénique et des ganglions
neurovégétatifs costo-somatiques en Th3)
• Extrasystoles et troubles du rythme cardiaque
(voies neuro-végétatives des gg cervicaux supérieurs et moyen
et du gg costo-thoracique en Th5 principalement).
• État déprimé, mal-être, oppressions, crises d’angoisses
(par affection neuro-végétative centrale).
• Fatigues et asthénies chroniques (par affections de mobilité
en Occ/C1 et C7/D1_voies sympathiques).
• Gastralgies, dysphagies (voie splanchnique supérieure plexus
coeliaque, ganglions semi-lunaires et mésentériques supérieurs et
le nerf pneumo-gastrique).
• Impatience des membres (réseaux neuro-musculaires sacrées et
des membres inférieurs)
• Intestins (ballonnements, spasmes) côlon irritable et spastique
(par les voies splanchniques)
• Mal des transports (spasmes vasculaires de l’artère pétreuse et
de l’oreille interne)
• Migraines (C1, occipital, sphénoïde par désordre dure-mérien).
• Otites chroniques de l’enfance (par voies sympathiques
œsophagiennes et déséquilibre de tension dure-mérienne).
• Paralysie du VII a frigore (par restrictions de mobilités des
membranes crâniennes enserrant le VII)
• Peurs, états de panique (par désordres neuro-végétatifs suite à
des antécédents de traumatismes physiques)
• Pudendalgies (voies sacrées en S4)
• Pygalgie (par dysfonction de position de la tête fémorale et des
conséquences sur le muscle pyriforme).
• Sinusites chroniques (par la mise en tension dure-mériennes sur
ses inclusions périostées intra sinusales)
• Stérilités (certaines d’origine traumatique – Dérèglement du
feed-back hypophyso-hypothalamique)
• Toux chroniques irritatives (gg cervical inférieur et fascias
trachéaux en C4)
• Troubles vagaux (par compressions neuro-végétatives du X dans les défilés exocrâniens)
• Vertiges (type Ménières – par restriction de mobilité des membranes occipitales et des
conséquences sur la vascularisation et les fluides de l’oreille interne.)
Ainsi, la méthode osséopraxique consiste à libérer les contraintes mécaniques et tissulaires exercées sur ces voies neurologiques sachant leurs cheminements à proximité d’articulations comme par exemple les articulations costo-vertébrales, les passages endo et exocrâniens, et tous les défilés donnant prétexte à des compressions relatives.
Cette liste n’est pas exhaustive puisque d’autres pathologies ont été améliorées par cette médecine neuro-végétative.